Les démonstrations et les conférences

François JEKER

François JEKER est diplômé de l’Ecole des Beaux Arts de Mulhouse.

Il a dessiné ensuite des décors d’émission de TV et de théâtre et édité son  premier livre, un dictionnaire illustré d’alsacien, en 1986.

Il a exposé à plusieurs reprises ses peintures et photographies au Japon, en particulier en 1995 à la célèbre École SOGETSU à Tokyo et en 1996 à Kyoto avec son ami Itsuki YANAI.

Il  commence à pratiquer l’art du bonsaï dès le début des années 80, d’abord tout seul, puis au sein du bonsaï club de Mulhouse (TENKEI).

Sa rencontre avec Pius NOTTER, le spécialiste suisse du bonsaï, a été déterminante dans son évolution et sa démarche .De cette rencontre nait sa passion pour le Yamadori (arbre prélevé dans la montagne pour ensuite être transformé en bonsaï) et sa volonté de mettre humblement, respectueusement en valeur l’œuvre créatrice de la nature.
Dès 1991, il  commence à accumuler les prix décernés entre autres par John NAKA , Pius NOTTER, Pedro MORALES, Solita ROSADE, Hatsuji Kato, Tsang-Shing Chen.  Il a obtenu ces récompenses tant pour ses arbres que pour  son action en faveur de l’amélioration de la qualité des bonsaï dans le monde.

Il a créé 7 écoles de bonsaï dans le monde.

En 1996, il devient le premier lauréat du niveau 3 des instructeurs de la Fédération Française.

Il collabore avec plusieurs revues nationales et internationales en écrivant des articles sur l’esthétique, la culture japonaise,  les variétés locales (buis, épicéa, charme, pin…), les techniques de mise en forme, le travail du bois mort, la philosophie du bonsaï…

Les six livres qu’il a écrits sur l’esthétique et les techniques du bonsaï ont été  traduits dans plusieurs langues.

Il est le seul français à avoir été régulièrement invité à faire des démonstrations dans des congrès mondiaux

Son expertise dans le travail du bois mort l’a amené à créer le prix  “JEKER DEADWOOD AWARD” qu’il décerne lors d’importantes manifestations internationales.

Il s’est rendu à plusieurs reprises au Japon pour rencontrer les maîtres de bonsaï les plus réputés et a travaillé avec certains d’entre eux lors de rencontres en Europe et en Amérique du Nord, en particulier avec Tohru SUZUKI.

Il voyage dans le monde entier pour donner des conférences, faire des démonstrations, animer des ateliers de travail : USA, Canada, Chine, Caraïbes, Venezuela, Equateur, Colombie, Royaume uni, Espagne, Italie, Suisse, Allemagne, Belgique, Hollande, Tchéquie, Suède…

En 1999, il a mis fin à son école européenne qui réunissait plus de 120 élèves pour créer le « groupe d’étude Shizen », limité à 30 membres choisis parmi les amateurs et professionnels européens les plus expérimentés. Lors du départ d’un membre, une procédure d’un an a été mise en place pour évaluer les nouveaux candidats sur la base de différents critères : les qualités humaines, l’exigence de qualité, la motivation, l’autonomie et le respect des arbres

Il est le créateur d’un événement à Mulhouse (France), le « Bonsai Euro Top 30 », qui a lieu tous les quatre ans et qui a accueilli en 2018 plus de 150 000 visiteurs. Cette édition avait été couplée avec le congrès mondial du B.C.I. (Bonsai Clubs International) et le Congrès de la FFB (Fédération française de Bonsaï).

Il s’attache à travailler surtout des yamadori européens, avec des techniques très douces.

Pour lui, le bonsaï est un art, mais d’abord une philosophie, une règle de vie basée sur le respect de la nature.

Il continue à peindre et exposer ses toiles.

Enfin, il réalise dans le monde entier des photos de Land’art. Symboliquement, il fait un cadeau à la nature en apposant, à demeure, des  vraies feuilles d’or sur de belles roches.

Cependant, François JEKER continue d’intervenir dans les clubs à la demande. Compte tenu de son planning, les réservations sont à faire un an avant sur info@jeker-bonsai.fr

«  La place de l’homme dans la nature » est le thème récurrent chez François JEKER quel que soit l’art pratiqué.

Le Ministre des affaires étrangères du Japon vient de lui attribuer un « Certificat d’honneur » pour ses actions de promotion de la culture japonaise dans le monde.

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Nick Rozman

Né en 1991, Nik ROZMAN reçoit son premier bonsaï à l’âge de dix ans.

Quelques années plus tard, il rejoint le club slovène, SBK, et y fait de grands progrès. Nik assiste à de nombreux ateliers et démonstrations avec de nombreux maîtres européens   tels Enriko Savini, Luis Villa, Vaclav Novak et Adriano Bonini.

En 2008, Nik représente la Slovénie au concours New-Talent de l’E.B.A.  à Vienne. Puis en 2009, il remporte le premier prix lors d’une exposition en Autriche. SBK fut fier alors d’avoir Nik parmi les seuls sept moniteurs de bonsaï en Slovénie.

Aujourd’hui Nik travaille le Bonsai depuis plus de 18 ans et assiste à de nombreux événements à travers le monde. Il a reçu de nombreux prix et récompenses en Europe avec les bonsaï qu’il a créé.

Quelques-uns de ces prix, les plus remarquables, sont : une nomination à l’E.B.A., un prix de l’I.B.S. italien, un prix pour le plus beau bonsaï européen original au Trophy en Belgique et le prix de l’Européen Bonsai-San Show en France qui est actuellement l’une des meilleures expositions de bonsaï d’Europe.

Mais Nik pense qu’il a le devoir, en tant qu’instructeur, de transmettre ses connaissances. Ce qu’il fait sous forme de cours, d’ateliers ou de démonstrations.

Jusqu’à présent, il a effectué des démonstrations, des ateliers en Italie, en Hongrie, au Royaume-Uni, en Autriche, en Croatie, en République tchèque, en Pologne, en Belgique, aux Pays-Bas, en Finlande, au Brésil, en Chine et …maintenant en France lors du congrès national 2020 de la Fédération Française de Bonsai.

Il est actuellement président du club de bonsaï slovène et délégué slovène de l’E.B.A .Il gère aussi avec succès son studio NikArt Bonsai par lequel  il transmet son savoir à quiconque souhaite en savoir plus sur le bonsaï.

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Olivier Barreau

Sa rencontre avec le bonsaï date de 1997 avec l’achat en jardinerie d’un petit orme de Chine. Il s’inscrivit ensuite aux clubs de Castres Bonsaï Passion et Midi- Pyrénées Bonsaï. Une étroite relation voyait le jour avec ces petits arbres allant jusqu’à la découverte du yamadori autochtone notamment les pins sylvestres.

En 2001, Il s’inscrit à l’Ecole Européenne du Bonsaï en France, dirigée par son futur maitre : Salvatore Liporace. Il a alors l’occasion de travailler avec Salvatore à Milan et c’est là qu’il découvrit vraiment l’Art du bonsaï.

De 2004 à 2007, sur des périodes de trois à quatre mois, il fut apprenti chez Salvatore Liporace et se consacra journellement au Bonsai.

Fort de cet apprentissage et de cette vision, il en revenait avec un savoir-faire et un enseignement précis où le moindre détail a son importance. Ce qu’il s’efforce maintenant de retransmettre à ses stagiaires.

Professionnel à part entière depuis 2009, il dirige des ateliers lors de stages de clubs ou privés

De même il assure des démonstrations et des animations lors d’expositions. Il propose aussi à la vente des yamadori, pré bonsaï et bonsaï.

Depuis 2016, revenu dans la région toulousaine, il se dédie exclusivement au métier de

« bonsailliste » » délaissant son ancien métier d’élagueur et entretien d’espace vert.

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1997 : début de sa passion pour le bonsaï

2001 : participation à l’EEBF (Ecole Européenne de Bonsaï en France)

2004 à 2007 : apprentissage au Studio Botanico (Milan) sous la direction de Salvatore Liporace

2009 : professionnel déclaré en France. Création de son entreprise » ARTISAN BONSAI ».

Traducteur pour la revue ESPRIT BONSAI

A partir de 2009, parcours la France, l’Europe et le monde pour participer à des expositions et manifestations consacrées à cet art en tant qu’invité (notamment le Canada, le Brésil et dernièrement la Chine, à la manifestation BLACK CISORS en tant qu’artiste français).

Depuis 2016, le bonsaï est sa principale activité.